JOUR DE PIQUE NIQUE A CORMONTREUIL / 2014

par Christian Zimmermann  -  5 Juillet 2014, 08:58

On dit volontiers que trop d’info tue l’info.

Et pourtant, ce soir il y a tant de choses à bloguer.

D’abord c’était le jour de la Fête de l’Indépendance pour les U.S.A., et c’est le jour où, en foot, l’Allemagne a encore pris le dessus sur la France.

C’est aussi le jour du pique nique au club de bridge de Cormontreuil. Lydie avait tout prévu. Il y avait même des jeux de cartes.

Elle avait tout prévu, même qu’il pleuvrait et il n’a pas plu.

Elle avait tout prévu et le Champagne a égayé les visages bien tristes de devoir pique niquer à l’intérieur. Il faut bien le dire, le temps n’était pas encourageant ni le matin, ni au moment de midi.

En fait, elle aurait dû prévoir le pique nique en soirée car le soleil était enfin arrivé, la température était plus que clémente.

Mais voilà, ce n’était pas possible puisqu’elle voulait voir le match, et il faut bien ajouter qu’elle était loin d’être la seule.

« On refait le match » ne changera plus rien au résultat.

Maintenant, le temps est détraqué, il pleut pour le plus grand plaisir de nos plantations qui en avaient bien besoin.

Si cela continue 48 h, nous nous plaindrons dès mardi prochain que l’été est pourri !!!

Merci Lydie pour ce moment de fraternité au sein de notre club « décontracté et sans stress. »

Dès le matin, nous étions 5 tables incomplètes pour un Howell d’entraînement en 6 tours.

La cinquième table était incomplète d’un seul joueur.

Françoise qui n’avait pas de partenaire a fait contre mauvaise fortune bon cœur. Elle a simplement et aimablement assuré la livraison du pique nique. Dans son grand coffre, elle a transporté plats et saladiers, puis a installé l’ensemble sur les tables dressées en buffet auxquelles les convives ont pu goûter à des spécialités bien réussies.

Les bridgeurs par l’odeur alléchés ont cédé à la tentation de trinquer un tout petit peu avant que le douzième coup de midi ait résonné au clocher.

Les derniers « lève plus tard » qui n’arrivaient qu’à ce dernier coup de cloche avec leur dessert sous le bras en guise de pantoufle de vair n’étaient donc pas tous arrivés quand les premières flûtes étaient déjà englouties par les bridgeurs « lève tôt ».

Après un petit temps de flottement où R.T. a exprimé son agacement, sa colère, disons le mot, tout est rentré dans l’ordre. R.C. a su le consoler avant de jouer avec lui l'après midi.

A Cormontreuil, les bulles ont eu le dernier mot.

Le buffet a été apprécié, les desserts concoctés par les talents de nos meilleures bridgeuses ont régalé les plus gourmands, mais aussi les plus raisonnables (y en a-t-il quand les papilles sont tant sollicitées ?).

Le petit rosé bien frais a succédé au champagne.

Les histoires ont fusé. Dans un rêve, G.D. a ainsi rencontré le bon Dieu, Adam et Eve. Le bon Dieu propose deux cadeaux à nos deux ancêtres. Adam, intéressé, demande à Dieu de s’expliquer sur le premier cadeau. Dieu propose le cadeau qui permet de faire pipi debout. Sans laisser Eve s’exprimer, Adam demande à Dieu de recevoir ce cadeau pour lui. Il reçoit, il s’essaie, apprécie, s’entraîne au pied de chaque arbre qu’il rencontre (peut être bien un pommier parmi ceux-ci). Au bout d’un moment, Eve, demande à Dieu : « Et l’autre cadeau pour moi : c’est quoi. Dieu lui dit alors : « le cerveau, Eve, le cerveau ». Eve accepta ce présent. Et c’est ainsi que depuis tant de générations l’homme fait pipi debout et la femme raisonne. Là, Georges s’est éveillé, angoissé par ce rêve qui a tourné cauchemar et a décidé d’en faire profiter tous ses amis.

Petite demande non satisfaite, celle de J.T. qui aurait bien pris un verre de rouge avec le fromage. En l’absence de Maroilles, il a accepté le rosé avec le sourire qui lui va si bien.

Café, mignardises maison (merci mesdames), et retour aux choses sérieuses.

Dès 14 heures au clocher de Cormontreuil, le buffet était desservi, les donnes de bridge avaient repris leur place et onze tables cette fois complètes ont partagé un tournoi arrêté à 17 h précises pour permettre aux uns et aux autres d’aller se mettre en tenue de foot balleur en face de leur écran de télévision.

Avant de partir, les derniers ont rangé, fait la vaisselle et les avant derniers ont trinqué une dernière fois et repris une petite part de leur gâteau préféré.

Quand j'écris les derniers et les avant derniers, ce n'est pas une allusion au classement du tournoi, mais bien les derniers et avant derniers sur place.

Pour ceux qui ont essayé de retrouver les clés de la voiture de Geneviève, soyez rassurés, les clés ont bien été retrouvés.

Les résultats et les photos de la journée suivent ce bla bla du jour. Admirez le parc de Cormontreuil, sous le soleil, aux environs de 17 h 30. Quand le soleil vient nous narguer !!!

Un joueur m'a demandé vendredi matin le nombre possible de distributions de 13 cartes parmi 52.

Je vous livre le résultat. Je me suis contenté d'une recherche sur Internet et j'ai trouvé au moins deux fois le premier chiffre (635 milliards). Le deuxième proposé vaut tout de même le coup au-delà du fait que je serai bien incapable de vous le rendre compréhensible en lettres. Vous pouvez toujours essayer de vérifier !!!

"Par exemple, le nombre de mains différentes (choisir 13 cartes parmi 52) que vous pouvez avoir est 635 milliards, ou plus exactement :

635 013 559 600

Le nombre de donnes de bridge différentes est beaucoup plus élevé, car les 39 cartes que vous n'avez pas peuvent être chez n'importe lequel des trois autres joueurs, ce qui multiplie les possibilités par rapport aux 635 milliards. Le résultat est environ 53 milliards de milliards de milliards, beaucoup plus que les célèbres sabords du capitaine Haddock. Amusez-vous comme moi à le calculer avec tous les chiffres, c'est encore plus inutile :

53 644 737 765 488 792 839 237 440 000

Donc quand même... quand on dit qu'il n'y a jamais deux donnes pareilles, c'est assez vrai."

L'ensemble entre "..." est bien une citation empruntée.

JOUR DE PIQUE NIQUE A CORMONTREUIL / 2014
JOUR DE PIQUE NIQUE A CORMONTREUIL / 2014
Quelques instantanés de la journée en attendant ceux de Régine. Du soleil du matin ... jusqu'au soleil du soir. Entre temps, la grisaille nous a incités à déjeuner sur nos chaises vertes plutôt que sur l'herbe verte
Quelques instantanés de la journée en attendant ceux de Régine. Du soleil du matin ... jusqu'au soleil du soir. Entre temps, la grisaille nous a incités à déjeuner sur nos chaises vertes plutôt que sur l'herbe verte
Quelques instantanés de la journée en attendant ceux de Régine. Du soleil du matin ... jusqu'au soleil du soir. Entre temps, la grisaille nous a incités à déjeuner sur nos chaises vertes plutôt que sur l'herbe verte
Quelques instantanés de la journée en attendant ceux de Régine. Du soleil du matin ... jusqu'au soleil du soir. Entre temps, la grisaille nous a incités à déjeuner sur nos chaises vertes plutôt que sur l'herbe verte
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