Un Bridge pas comme les autres
Voici la fin des photos du repas de Sillery.
Au milieu des photos de Régine, celle-ci. On dirait bien qu'il lui fait LA COUR.
Mon baratin n'a pas changé. Ni plus drôle, ni moins non plus.
En dessous, vous trouvez d'abord les photos de Régine, puis celles de Christian (Z).
Elles sont accessibles en diaporama qui défile de gauche à droite ou de droite à gauche.
A chacun ses convictions.
Nous étions tous venus par nos propres moyens à cette belle journée.
Aucun risque : ni taxi, ni Uber Pop, ni-ni.
PROCHAINES AGAPES : VENDREDI 3 JUILLET au parc Saint François Xavier à Cormontreuil.
Je persiste dans la demande de votre réussite culinaire au rayon des desserts.
Ne sollicitez pas trop Madame PICARD. Il y a un cordon bleu qui peut s'exprimer en chacun d'entre nous.
Pas comme les autres, vous l'avez compris. C'était une journée sans bridge.
Du soleil, rien que du soleil dans les coeurs, dans les sourires, dans les verres et jusque dans les assiettes.
L'été est arrivé à point nommé avec notre journée champêtre au Relais de Sillery. Dans ce magnifique ancien relais de Poste (servons nous de la comm. du restau sur son site Internet), nous avons passé un excellent moment.
Apéritif sous la tonnelle, verres rapidement vides. A tel point qu'une de nos convives ayant repéré des verres qui chauffaient allègrement au soleil se demandait avec convoitise si c'était permis de faire un sort à l'une de ces deux flutes. Assistant à la scène, je la tentais en lui disant que le compte était bon et qu'il y avait l'une des convives qui ne buvait pas de notre nectar champenois. Bref, elle se servit avec discrétion et j'ai garanti que je ne donnerai pas de nom.
Patatras, le serveur avait l'oeil non pas sur la dame, mais sur les verres et quand nous lui disons qu'il manque un invité à la fête, il affirme : "Tout le monde est là. Il ne reste qu'un verre, mais une personne n'en a pas pris". Là, j'ai dû lui dire : "Non, je sais tout, et il manque bien Alain". Et puis, quand manque Alain, cela se remarque tout de même un peu.
Appel téléphonique vers Alain qui apparaît tel un lapin tiré du chapeau d'un magicien. Alain qui sort d'un iphone 4, 5 ou 6 c'est tout de même aussi fort de café qu'une enchère à 7 SA.
L'apéro se prolonge, le bruit de nos convives ne semble pas trop perturber les clients du restaurant.
Nous passons à table et reconnaissons nos places à l'aide des trombinoscopes que le club met maintenant à toutes les sauces. C'est comme une nouvelle enchère apprise de la veille. Les trombinoscopes sont sympa, mais le nombre de places aux tables ne correspond pas au nombre de photos sur les trombinoscopes. Bref, misfit total entre notre présidente et le restaurateur.
Lydie a hésité entre laisser les choses en l'état et on verra bien comment les joueurs s'adapteront, ou bien charcuter aux ciseaux les jolies tirages sur papier photo. J'ai évité le carnage à ce niveau.
De toutes les manières pour charcuter les trombinoscopes, il aurait fallu que Jacques soit parmi nous. Nous le savions malade quelques jours plus tôt, hospitalisé. Nous avons été rassurés par Lydie. Il était rentré chez lui, se reposant sagement dans la perspective du mariage d'Anne Sophie dans peu de temps. Tu as raison Jacques. Nous avons pensé à toi au long du repas, sans fromage ni maroilles.
Un menu excellent, des vins bien choisis, un peu servis au compte goutte pour le blanc. Soit nous avons beaucoup bu sans nous en rendre compte, soit ils sont imprévoyants. Dans une maison de cette classe, venir affirmer à la présidente du club "du blanc comme celui ci, nous n'en avons plus", c'est tout de même décevant.
Mais dans les assiettes, c'était à la fois raffiné et largement conséquent même pour les plus gros appétits.
Nous avons profité de la terrasse ombragée pour le café et les mignardises. Les groupes ont rejoint avec entrain les tables disposées à l’extérieur et le personnel a pu procéder au rangement de la salle pour accueillir les convives du soir (dont nous n’étions pas, certes).
Chacun a repris sagement la route du logis. Belle journée franchement réussie. Les visages des uns et des autres montraient un réel contentement, pas seulement des papilles.
Les photos de Régine. Un oeil d'artiste pour un même événement.
Les photos de Sillery sont développées. Over-blog accepte enfin de les digérer à petite dose