2016 LAST ONE

par Christian Zimmermann  -  30 Décembre 2016, 19:06

Le jour de la saint Roger, le temps a changé. Il fait froid, les bonnets sont de sortie, les gants aussi. Mais pour ce qui est de notre confort, c'était tranquille. Passé la porte de la salle, une douce chaleur incitait à tomber la veste, le cache nez, le bonnet et à pratiquer les bonnes enchères avec les doigts bien à l'aise pour saisir le bon carton.

La saint Roger a été honorée par 7 tables incomplètes et le rythme du HOWELL a été sagement repris.

Petite consultation en début de tournoi:

HOWELL avec relais de 2 donnes ou bien MITCHELL avec relais de 4 donnes.

Présenté comme cela, le HOWELL  se digère mieux.

En 2017, nous allons retrouver tous ceux qui ont quitté Reims pour le temps des fêtes de fin d'année et qui, pour certains, nous ont fait des coucous à distance. Entre temps : bonne saint Sylvestre et meilleurs voeux à tous pour ce début d'année qui arrive et frappe à notre porte.

Les joueurs étaient un brin dissipés et le relais parfois un peu bruyant. Heureusement 15 minutes, cela passe vite, mais quand un grand bavard entreprend une joueuse sur le thème de la bossa nova ou du tango et qu'un Thierry s'en mêle parce qu'à un moment, il a cédé son siège au joker laissé sur le carreau pour l'après midi, ça fait du bruit. Il est gentil Thierry. Il sait détendre l'atmosphère et un relais a passé un bon moment en sa compagnie. Dans le même temps notre joueur entreprenant n'a pas pu aller plus loin dans son bridge flirté(?), fitté(?), je ne saurai l'affirmer. Nous restons un club sérieux et les enchères de rencontre n'y font pas recette.

La paire qui triomphe avec force, c'est la paire Nelly / Gilbert qui est loin devant, au-delà de 70 %. En passant en table relais, ils étaient sérieux dans leur conversation, mais bruyants, ça oui, je peux vous l'affirmer. Il y a des voix (une voix) qui portent plus que d'autres.

Vous trouverez comme d'habitude le détail ci dessous, avec en prime, ROGER à l'amende le jour de sa fête : corvée de vaisselle. Il ne l'avait pas vu venir. Merci ROGER.

 

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