Vendredi 10 août
Les vacances tirent à leur fin, la chaleur est retombée, les bridgeurs sont plus nombreux autour des tables. Les mines sont plutôt réjouies, le moral est bon. Bref, tout va plutôt bien. 11 tables pleines ce vendredi.
Nous avons salué le retour à la table de notre ami Hubert, après une longue absence et 100 journées d'hospitalisation. Nous sommes assez nombreux à lui avoir fait des petits "coucou" tant par téléphone qu'auprès de lui dans les établissements qu'il a fréquenté. Il y a même eu des visites d'hospitalisés entre eux. Avec une nouvelle jambe pour l'un, un nouveau genou pour l'autre, nous imaginons bien les conversations. Ces récents hospitalisés étaient présents tous les deux, l'un en table 10, l'autre en table 11 et ils ont connu des fortunes diverses cet après midi en terminant pour l'une en troisième place et pour Hubert avec la cuillère en bois. Mais, l'essentiel, c'est de participer et surtout, de revenir à la table.
La planche ci dessus est un résumé de leurs exercices quotidiens de rééducation. Un sac de sable de 1 kg sur le genou, c'est peut être encore un peu tôt.
Oui, tout cela est bien, mais qui a terminé en tête ? Vous le saurez vite.
Avant cela petit message : nous sommes désormais 71 membres à jour de leur cotisation. Merci aux retardataires de penser à venir avec 35 € pour acquitter celle ci à moins que vous ne préfériez passer au ticket à 3 €. "To be ou not to be" ... a member of "Club de Bridge des Copains". That is the question. 71 d'entre nous ont déjà répondu : "oui, encore pour l'année à venir".
Ce jour, nous avons vu également arriver une nouvelle joueuse, Chantal Dauger qui, associée à Jean Marie, a pris la deuxième place en N/S.
En N/S, c'est notre Chantal habituelle qui est en tête avec Jacques avec 61.11 %
En E/O, Michèle et Christian font encore mieux avec 62.27%
Voilà les nouvelles à partager ce soir.
Concernant la journée du jeudi 8 novembre, nous avons désormais une longue file d'attente. Sachez que nous allons faire le maximum pour essayer d'augmenter le nombre d'entrées possibles à l'Assemblée Nationale. Mais, à l'impossible, nul n'est tenu.