PROLONGEMENT DE LA GARDE A VUE
30 jours d’accord, mais jusqu’à Noël, pas question !
A ce sujet Marie Caroline a fait parvenir un manifeste à la presse : ne pas stigmatiser les personnes de plus de 70 ans ! c’est discriminatoire et anticonstitutionnel …Sera t-elle entendue ?
Un peu d'histoire
Aujourd’hui 17 avril , les cubains se remémorent l’épisode de la Baie des cochons
Le 17 avril 1961, une poignée d'opposants à Fidel Castro, armés par la CIA, débarquent dans la Baie des Cochons, à l'ouest de l'île de Cuba. La tentative échoue piteusement et les assaillants se font tuer sur la plage.
Le 17 avril 2020, 59 ans plus tard les rapports entre les 2 nations sont toujours tendus malgré un début de rapprochement ces dernières années.
Des responsables de Cuba affirment avoir trouvé un médicament capable de traiter le nouveau coronavirus et espère distribuer ce médicament à travers le monde malgré les sanctions américaines… INFO ou INTOX ?
Les inconnus du monde d’après
Ce sondage n'évoque pas les problèmes capillaires, pourtant cela devient primordial pour beaucoup, sauf pour les chauves qui prennent leur revanche.
Chacun se déclare apprenti coiffeur avec plus ou moins de réussite.
Des illustres précurseurs avaient déjà anticipé ces nouveaux "look"
Dominique nous propose une solution:
Pour sortir plus tôt...dans un mois je vais me faire des couettes, mettre une jupette et des socquettes et peut être aller à l 'école... c 'est de la triche?
Peut être mais j 'ai le droit de rêver...
Aux nombreux lecteurs du CBC
(le jeu de la semaine)
27 écrivains espiègles (des plus classiques aux plus modernes) se sont cachés dans ce texte,
A vous de les dénicher.Un petit conseil : lire ce texte à voix haute !
Texte
Confiné, il racontait ce qu’il ferait, une fois libre, d’ici un mois, dans ces eaux là
Ce moment semble si dur à surmonter…Mes les mots, lierre de la pensée, permettent de s’évader un moment , de laisser fuir ces maux passants.
Près de la fontaine dont les flots bercent l’oreille distraite, des oiseaux volent, terre, herbe et racines semblent endormis .Les oiseaux sont là, souverains, beaux, jeunes encore.
Une tribu goguenarde qui boit l’eau et la bénédiction du soleil qui couvre leur air novice.
Le rabot de l’air ne les épuise pas : ils n’en font cas, mus par la douceur du jour.
Mus, c’est le mot, mais sans mouvement : ils se posent, l’arbre vert ne bouge presque pas.
Du mat naturel, ils regardent au loin, plus ou moins anges, peu ou prou statues.
Braves bêtes, la becquée te les rend grands mais où est le bec aujourd’hui ?
Le héros poursuit son chemin rêvé. Les ronces ardentes frôlent ses pieds,
Il avance, doucement, cherchant une aide, bonde, brune, rousse, au hasard.
Il a beau voir toute cette splendeur, il ne s’y trompe pas.
Il a beau marcher par l’esprit, il ne s’y trompe pas.
C’est la force des poètes : se promener sans mouvement, sans de grands efforts.
Voir la vie en beau malgré tout, malgré les épreuves.
L’esprit est une gare : y passent mille idées qui s’enfuient et nous entrainent.
Toujours l’art a gonflé cette voile humaine, cette force : tenir bon jusqu’au prochain voyage