Jeudi 7 octobre
Nouveau jeudi ensoleillé passé avec des joueurs souriants et détendus.
Quatre tables pleines et un mouvement Mitchell mieux maîtrisé que la semaine dernière.
Six donnes par table, cela peut paraître un peu long, surtout si la ligne opposée enchaîne de bons coups.
C’est la loi de notre jeu de cartes.
Il y a ceux qui jouent la bonne donne au bon moment avec la bonne paire en face et ceux qui jouent la donne compliquée au mauvais moment avec la paire la plus difficile en face.
La chasse d’eau aurait fait l’objet d’un sérieux détartrage, si … une envie certainement urgente, n’avait amené un copain ou une copine, on ne sait pas, à actionner le mécanisme trop hâtivement, chassant le vinaigre qui agissait lentement.
En bridge, quand votre partenaire utilise une enchère qui vous paraît bizarre, le mieux est de réfléchir. Logiquement, vous vous dites : mon partenaire n’est pas idiot et s’il utilise cette enchère il a une bonne raison.
C’est pareil au jeu de la carte. Si votre partenaire ne relance pas dans votre couleur d’entame, c’est souvent qu’il a une bonne raison.
Avec la chasse d’eau, c’est pareil. Quand vous entrez dans la cabine et que le couvercle en porcelaine est démonté, posé sur l’abattant avec le mécanisme qui permet d’actionner l’appareil, c’est qu’il y a une raison.
Et si de surcroît l’odeur de vinaigre est forte, c’est vraiment qu’il y a une raison.
Il est vrai que j’aurai pu donner un tour de clé pour condamner la porte. Cela aurait évité que la solution détartrante n’est soit utilisée avant d’avoir pu agir.
Passons pour cette fois. Un litre de vinaigre blanc ne coûte pas grand chose. Mais s’il est efficace, c’est encore mieux.
En bridge, un petit atout ne vaut pas grand chose, mais s’il sert à couper, il devient aussi beau qu’un As.
Cette magie aura-t-elle agi au fond de notre chasse d’eau ?
À suivre.
Au fait, si vous souhaitez que je ne vous parle plus de chasse d’eau, faites un effort. D’avance, merci.
Pendant que, déguisé en plombier d’opérette, je faisais ce constat ; Yvette maniait le lave pont et la serpillière car dans la cabine voisine un copain (certainement) avait mal visé.
Dans une association, on ne devrait pas avoir à insister pareillement sur des problèmes de simple respect d’autrui.
Serait-ce un bon investissement pour le Club ? 7,33 € TTC.
Merci de m’aider à élever le débat.
Demain, la balle est dans le camp de Marie-Claude et Marc. Ils auront meilleure inspiration.
Je le leur souhaite. Ce soir, je suis plutôt dépité.
Quatre tables pleines : 24 donnes
En NS, Françoise et Marie-Paule explosent le compteur avec 72.92%
En EO, Annick et Jacqueline ont un excellent score également : 62,50%