JEUDI 23 JUIN
10 bridgeurs ont souhaité vivre cet après midi une expérience intellectuelle sans limite : le duplicate.
10, c'est trop ou pas assez. 11 aurait été mieux ; 12 aurait été franchement meilleur.
Alors, sans courte paille, deux se sont désignés pour rentrer at home. Merci à ces deux cop.copines pour cette sage décision.
Oui, nous avons réalisé un duplicate deux tables en l'absence d'une meilleure fréquentation.
Cela a fait 8 joueurs heureux de leur après-midi.
Nos autres habitués du jeudi commencent à prendre la poudre d'escampette, le plus souvent pour se détendre en vacances.
Certains préfèrent peut-être jouer entre amis à la maison, le bridge de salon, notre premier concurrent.
C'est un bridge qui n'occasionne pas que des satisfactions.
L'avantage unique du bridge de salon semble être pour celui qui reçoit : "il ne se déplace pas". Certes, mais comme vous l'indique l'illustration, cela se termine avec un peu de vaisselle. (Slug me : Fous moi une raclée, frappe moi).
Ces "UK bridgeurs" ont certainement réuni à la maison 3 ou 4 tables. Cela devient un bridge de comparaison, mais l'après-bridge devient terrible, pour peu que l'on ait joué comme des pieds et que les comptes se règlent au cours de la vaisselle.
Une ou deux tables seulement, ce n'est pas franchement l'idéal sauf empêchement à se déplacer dans l'ambiance des Copains du Bridge.
Oui, vous connaissez le Bridge des Copains, celui que je préfère. Là, l'ambiance est garantie. Il n'y a pas à envisager de rendre des invitations ; au milieu des tournois, il y a un temps de papotage organisé et sympathique.
C'est une photo prise mardi par l'un d'entre nous qui s'émerveillait de l'ambiance papotage que nous savons créer entre nous.
Le jeudi, ce temps est également bien vécu par les bridgeurs qui, cet après midi ont vécu deux duplicate de 12 donnes avec des équipes remaniées au moment de la pause.
Alors, pas de résultat de tournoi, mais je vous propose :
Sur une musique d’Hugues Aufray (Adieu la rue de Pontgivart) et des paroles signées Agnielle Maillard
Refrain :
Adieu la Rue de Pontgivart
On part à l’amicale Jamin
Merci à la salle Saint Benoît,
On a été heureux là-bas.
-
On ouvre un tout nouveau chapitre
De notre histoire très mouvementée
C’est sûr, ça sera une réussite
Car on est plein de bonne volonté
2. On va tous retrousser nos manches
Pour faire un beau déménagement
C’est une nouvelle vie qui commence
À nous d’en faire un enchantement
Mardi, nous comptons sur vous tous : 54 copains et copains.
Merci de noter que l'horaire convenu est 12 h - 12 h 15. Nous espérons un apéritif servi sur la terrasse, au soleil et sous les parasols.
Que celles et ceux qui pensent covoiturage n'oublient personne sur leur chemin.
Un point de RDV est possible à la Salle Saint Benoît pour celles et ceux qui le souhaitent ou disposent d'une ou deux places. Gilbert NOLLEAU sera présent sur le parking jusqu'à 11 h 30 pour organiser les voitures.
54 cop.copines° vont partager un bon repas. Oui, dans un jeu de bridge de 52 cartes, il y en a toujours 54, dont deux jokers qui ne servent à rien au bridge. Dommage ! dommage !
Nous serons 54 voix qui diront adieu à la rue de Pontgivart. C'est à la fois nostalgique et plein d'espoir pour la suite.
Nous allons évoluer de :
vers :