Super samedi à VAUX LE VICOMTE
Rassurez vous, vous aurez également les résultats et vous ne devrez pas attendre dimanche 20 heures pour cela.
Auparavant, retour sur cette belle journée du samedi 6. Journée pluvieuse de bout en bout, mais radieuse pour les 28 membres, conjoints, amis du Club de Bridge des Copains du Grand Reims en déplacement à Vaux le Vicomte via Barbizon. Le passage par Barbizon était une surprise et pour être honnête, en dehors de belles demeures vues sur le coté et dans les rues, nous n'avons rien découvert de Barbizon et de son Ecole de peinture si réputée.
Nous étions seulement conviés à la Caverne des Brigands où nous attendait le correspondant local de Natural Diffusion.
Le petit déjeuner nous a bien été offert et par ce temps trop frais, il a été le déclencheur du réchauffement progressif des participants, même si la café ne valait pas celui qu'on prépare à la maison.
Ensuite, la présentation des produits de sécurisation de la maison a été faite par un garçon à la fois convaincant et talentueux pour attirer l'attention d'une ribambelle de personnes pas forcément intéressées, mais pas inintéressées non plus.
Bref, la mayonnaise est bien montée et peu importe si oui ou non certains de nos logements seront demain sur équipés avec Protechtor 2. Le dialogue a été fécond, la matinée a passé vite et l'heure du déjeuner était déjà là.
Sympathique ce déjeuner arrosé de bons petits vins. Une ambiance de charme dans un chalet au milieu des bois.
Oui, mais va-t-on oui ou non aller à Vaux le Vicomte ? Car c'est tout de même bien le clou de la journée.
Nous y sommes partis un peu avant l'heure prévue et y avons passé un bon moment, même si dans un premier temps, nous avons essuyé une alerte incendie qui a précipité tout le monde dans les jardins un peu détrempés par la pluie.
Nous avons constaté les ravages des maladies sur les buis.
"Juste après la pyrale, voila que se profile une autre menace redoutable pour le buis sous la forme de deux maladies « cylindrocladium buxicola et Volutella buxi » qui sont baptisées « maladies du dépérissement. ... Pour l'instant, il n'existe aucun remède pour anéantir le champignon victime de ces maladies." (Je ne vais pas faire l'érudit : cela vient directement de l'Internet)
Bref, cela n'est pas du meilleur effet et c'est dommage tant les jardins de Le Nôtre sont ornés de massifs bien taillés, mais malades, malades, malades.
A l'époque, l'extérieur comme l'intérieur du château a fait des jaloux et c'est bien logique. Un pareil surintendant des finances avait dû détourner un sacré paquet pour se bâtir un tel ensemble. Qu'il ait fini dans un cachot n'a rien de surprenant. Toutes les époques ont leur surintendant des finances qui ne se sent plus. Nous avons connu cela il y a quelques années.
Que c'est beau, que c'est agréable à parcourir et nous avons bien pensé à celles et ceux qui ne sont pas venus, soit qu'ils connaissaient déjà, soit qu'ils ne pouvaient pas nous rejoindre.
Retour sans encombre sur le parking de départ à 18 h 30 après une journée agréable malgré l'humidité.
Le résultat vous intéresse. Alors, venons à ce tournoi de vendredi.
Tout d'abord, quelle pagaille sur le parking. Merci de veiller à être tous bien rangés en épi le long des deux murs. Tous en épi, cela évite la pagaille finale et l'obligation du tire bouchon sur le coup de 17 h 45.
D'avance, vous en êtes remerciés.
Et si vous voyez que tel ou tel conducteur (ou conductrice) ne se range pas en épi, merci de rappeler la consigne. C'est simple et pratique pour tous.
11 tables pleines : ni saut, ni relais (et là c'est toujours une bonne nouvelle)
En N/S : Odile et Paulette ont dominé leur ligne avec 61.57%
En E/O : Régine et Jacques étaient imbattables à 65.05 %
AVIS AUX ETOURDIS : L'une ou l'un d'entre nous est rentré à la maison avec un manteau qui n'était pas le sien et dans lequel il y a des clés de voiture et de maison. Bref, comment fait le propriétaire du manteau pour rentrer. Je ne vous le raconte pas, mais forcément, c'est épique.
Et plus de 24 h après, toujours aucune nouvelle !!
D'avance, merci de nous rassurer si vous lisez notre rubrique.