Mardi 9 février : le billet du jour et de l'eau ...

Histoire d'Ô. Cela fait bien longtemps maintenant.... Il y a 45 ans. Bref, cela replonge certains de nos adhérents dans leur jeunesse ou quasi jeunesse. La plus jeune d'entre nous n'était pas encore majeure au sens giscardien du terme. Tous les autres étaient majeurs au sens plus ancien du terme : 21 ans depuis 1907. 

L'âge de la majorité a fluctué à travers le temps. Il est intéressant de noter qu'en droit canon, l'âge de la majorité est de 14 ans pour les garçons et 12 ans pour les filles. Le droit canon est sexiste. Est-ce une découverte ?

Les temps les plus obscurs concernant l'âge de la majorité se situent sous Henri III qui double la mise ou presque en portant l'âge de la majorité à 25 ans. Si les révolutionnaires abaissent cet âge à 21 ans pour tous, le code civil de 1804 est un brin sexiste avec 25 ans pour les garçons et 21 ans pour les filles. 

On reviendra à 21 ans pour tous en 1907, puis 18 ans depuis 1974.

Histoire d'Ô donc, voici le titre de notre billet du jour.

Oui, les histoires d'eau ont rempli ma boîte à lettre électronique au long de cette semaine, mais pas les histoires d'Ô.

Jugez plutôt

Le Test de la baignoire. Lors de ma visite médicale, j'ai demandé à mon médecin, “Comment déterminez-vous si on doit placer un patient dans une maison de retraite pour personnes âgées ?" "Bien," répond-t-il, "nous remplissons une baignoire, ensuite vous avez le choix entre une petite cuillère, une tasse à thé, et un seau et je leur demande de vider la baignoire." "Oh, je comprends, "une personne normale prendra le seau parce que c'est plus grand qu'une cuillère ou une tasse à thé". "Non, répondit-il, une personne normale enlèvera le bouchon de la baignoire. Voulez-vous un lit près de la fenêtre ?" Vas-tu transmettre ce message à tes amis qui ont de l’humour comme je viens de le faire ?. . . >   >  OÙ VEUX-TU UN LIT VOISIN DU MIEN ?

La chute vous remet en droite ligne du film Histoire d'Ô. L'érotisme à travers les âges de la vie.

En plein confinement ou presque des établissements sus mentionnés, cette demande "veux tu un lit voisin du mien ?" indique bien que le moral des troupes n'est pas complètement en berne.

En tous les cas, souhaitons-le.

Nos billets bi hebdomadaires sont là, non pas pour éveiller, réveiller des désirs, des pulsions, que sais-je encore. Non, ils sont là pour vous tenir en forme, en aussi bonne forme que possible. Rire ferait naturellement fonctionner, selon les sources, entre 140 et 400 muscles. Essayons de faire vibrer entre 300 et 400 chez chacun des cop.copines° du Club et ce sera déjà un franc succès. 

Nous ne sommes pas au bout de nos peines et il faut garder l'imagination en éveil.

Le virus continue sa tournée qui donne le vertige. C'est hélas du billard aussi imprévisible que multi bandes qu'il accomplit. 

Entre notre billard français à 3 boules : deux blanches et une rouge qui se jouait à la Cour à Versailles et qui n'a pas évolué beaucoup depuis et le billard chinois, le billard à la chinoise évolue avec des variants à 8 boules, à 9 boules. 

Nous pouvons évoquer également le variant anglais à 22 boules, le snooker. 

Le billard est un phénomène planétaire. Le Covid-19 est un phénomène planétaire.

Pour le billard, en dehors de la notion de queue, de boules, de tapis qui est commune, tout le reste est du style "cousin germain", ne permet pas beaucoup de comparaison. C'est un peu la même chose, mais c'est très différent.

Les histoires de billard n'ont pas empli ma messagerie. J'en assume l'entière responsabilité. Ce jeu illustre pourtant bien l'aspect mutant de la chose. 

J'aurai pu choisir la boxe aussi, le foot ici, socker là-bas, le rugby à 15 ici, jeu à 13 ailleurs..., ou bien les jeux de cartes : entre la belote, le tarot, le bridge : les cartes, les atouts, les 4 couleurs sont en commun. Pour le reste, ce sont des variants.

Les variants ont cette caractéristique de pouvoir l'être à l'infini.

Je suis bien d'accord, quand on pense Covid, cela fout les "jetons" à un moment où beaucoup d'entre nous "poireautent" en attente de la vaccination "multi-variants".

Certains sont déjà vaccinés, d'autres attendent,

l'âge parce que, nés en 1946 en février ou mars ils approchent des 75 ans, et sont prêts à prendre un RDV, s'ils l'obtiennent

pour d'autres enfin, leur tranche d'âge serait prochainement appelée... 

Et là, c'est l'expression "renvoyé aux calendes grecques" qui vient à l'esprit.

D'abord annoncée pour le 1er février, l'ouverture des inscriptions des plus de 65 ans, l'immense majorité d'entre nous, est repoussée à une date ultérieure. On parle de fin février, début mars. Tous antiCovid m'indique ce matin que 1 866 091 personnes (2,78%) ont été vaccinées (dont 162 449 pour le Grand Est (2,93% de la population) qui nous concerne davantage. Les choses avancent presque mieux dans le Grand Est qu'ailleurs. Vive le "Vaccibus" qui cartonne dans le Grand Reims. 

Pour beaucoup d'entre nous, il reste urgent de patienter. 

Il en va hélas de même pour la réouverture de la salle saint Benoît pour nos trois rencontres hebdomadaires. Elle est repoussée à une date ultérieure que nous ne maîtrisons pas. 

Il y a peu 5 sur 8 étaient vivants. Ils ne sont plus que 3, ce qui est déjà lourd pour le budget de l'État, que nous alimentons mensuellement et même quotidiennement.

Auraient-ils fait mieux ? Ils auraient fait autrement. Mieux ? Peut-être. Toujours est-il que c'est loin d'être simple et que le petit peuple que nous sommes doit se contenter des bonnes paroles auxquelles il a tout à fait le droit de ne plus croire. 

" les enfants du Bon Dieu et les canards sauvages" nous aurait volontiers été contés de sa voix ferme le premier de cette lignée installée début 1959 et qui semble s'inscrire au XXIème siècle sur une ligne à pente descendante. Il ne s'appelait pas le grand Charles pour rien. Depuis, à une exception près, à mesure que la taille moyenne des français s'est accrue de 5 cm en 30 ans, celle de nos Présidents semble avoir diminué de 10 cm, a minima !

Relire la tirade qui suit met en lumière qu'en France, rien n'a changé, malgré l'utilisation à gogo par tous ces Présidents du mot "réforme", "n'est-ce pas, Messieurs les journalistes ... pour lesquels ne comptent que les faits scandaleux, violents et destructeurs". No comment Années 60 - Années 2020, même constat. 

Je me garderai de faire aujourd’hui l’analyse d’une crise nationale aussi complexe que celle que nous avons traversée. Je constate seulement, qu’à l’évidence, cette crise fut grave, parce que l’anarchie universitaire, suscitée par des mouvement pour qui elle est une fin en soi, puis l’étouffement économique imposé à grand renfort de piquets de grève par des confédérations syndicales qui ne peuvent pas, me semble-t-il, s’empêcher de se politiser, ont pu se déployer longuement et obstinément. Cela grâce à cette sorte de vertige que l’on éprouve fréquemment chez nous devant la transformation rapide accomplie par notre pays, avec tous les défauts, toutes les routines, tous les égoïsmes, qu’elle met en lumière ; grâce à la mise en condition de l’opinion publique – n’est-ce pas, Messieurs les journalistes ! – par la grande majorité des organes de presse et de radio auxquels ne rapportent et, par conséquent, pour lesquels ne comptent que les faits scandaleux, violents et destructeurs ; grâce à l’état d’esprit de certains milieux intellectuels, que les réalités irritent d’autant plus qu’elles sont rudes, qui adoptent en tous domaines, littéraires, artistiques, philosophiques, l’esthétique de la contradiction et qu’indispose automatiquement ce qui est normal, national, régulier ; grâce à l’étrange illusion qui faisait croire à beaucoup que l’arrêt stérile de la vie pouvait devenir fécond, que le néant allait, tout à coup, engendrer le renouveau, que les canards sauvages étaient les enfants du Bon Dieu ; grâce enfin à la passivité qui figeait dans sa masse le pays désemparé.

Ils ont copié. Nous entendons parfois cette phrase au détour d'une conversation téléphonique.

Oui, copier, c'est tentant et vous voyez que nous le faisons allègrement en recopiant ici des textes, des images, des vidéos fabriqués par d'autres que nous.

C'est du copiage promotionnel et rigolard, bref ... franchouillard.

Dans les images qui suivent, c'est du copiage amusant, parfois un peu effronté, mais globalement c'est une bonne distraction pour un 9 février de l'an 2 du Covid.

Vous craquez chaque semaine pour les jeux du vendredi. Avez-vous trouvé les solutions ?

Pour ma part, j'ai séché lamentablement.

Les voici : n'hésitez pas à les consulter ci-dessous.

Solution de l’énigme

On ne peut écrire qu’un seul mot en utilisant qu’une fois toutes ces lettres… lequel ?

                           NLTUOUSME       =     UN SEUL MOT

Solution des dominos

C'est bientôt les vacances. L'équipe éditoriale en prendra dès la semaine prochaine avec une seule édition durant deux semaines. Nous ne partons pas au ski, nous ne partons pas aux Antilles.

Nous prenons un peu de bon temps.

Nous reviendrons avec plein d'histoires à vous raconter... pour vous détendre, se détendre ensemble, mais à distance. On a surtout rudement besoin de se retrouver, ... en vrai.

On ne le cache pas :  On en a tous rudement besoin.

Prochaines parutions : vendredi 12 février (MCM) ; vendredi 19 février (Ch); vendredi 26 février (MCM) ; mardi 2 mars (Ch) ; vendredi 5 mars (MCM) et le rythme redémarre, en espérant rapidement revenir à 3 parutions par semaine, ... dès que les tournois auront repris. 

Ah ! Oui, j'ai oublié les images qui vont avec "ils ont copié".

C'est bon. Les voici. Je suis encore capable de vider une baignoire avec la bonde ... pour le moment, je n'ai pas besoin de cuillère à café. Je la garde pour sucrer les fraises, avec l'idée de m'en servir le plus tard possible tant pour les fraises que pour la baignoire.